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Game of Thrones

 

 

 

18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 11:24

http://ecx.images-amazon.com/images/I/51pKGoRyEqL._SL500_AA300_.jpg

Qu'est-ce que j'en ai entendu parler de ce bouquin. Tellement qu'il se devait d'être au moins fantastiquement formidable. Avec une pointe de fabuleux. Au moins tout ça, au vu de toute la pression qu'on lui avait mis sur le dos. Alors évidemment, avec un background pareil... je ne pouvais qu'être déçue.

 

C'est juste trop quoi. C'est trop tordu déjà, et pas du tordu plaisant comme on en a si souvent dans la série quand on nous colle une grosse pelote de laine dans les pattes en nous laissant soin de la démêler. Là c'est juste tordu pour être tordu. C'est juste "je vais rajouter un noeud supplémentaire pour que ça ait l'air encore plus compliqué et donc encore plus intelligent". Sauf que c'est même pas compliqué. C'est juste... tordu. Et pourtant, bizarrement,  c'est aussi la plupart du temps tres prévisible.

 

Si je n'avais jamais entendu parler de ce bouquin avant, peut-être que je l'aurais plus aimé. Je l'aurais pas adoré, mais je l'aurais plus aimé. Bon, même là, je l'ai bien aimé, quand même, il faut pas non plus exagérer. Le truc, c'est qu'il est tres plaisant à lire, page par page. C'est l'histoire prise dans son ensemble qui laisse à désirer. Les dialogues sont piquants, les personnages bien foutus, tout va bien. Ten ne peut pas s'empêcher de l'ouvrir, piapiapia, et j'ai toujours aimé son côté grand bavard. Rose ne brille pas par son intelligence  (enfin, elle essaye sur la fin, mais franchement ça part un peu dans tous les sens), mais on peut y croire sans peine, que c'est Rose. Même Jackie et Mickey sont bien rendus. Et les personnages secondaires sont sympa comme tout. Non, ya pas, le souci, c'est vraiment le fond.

 

On débute en étant traînés de force au Musée National par Mickey qui a un truc super trop cool à nous montrer, et ce pour le plus grand plaisir de Jackie qu'elle kiffe trop les musées. Mais le truc super cool étant une statue géante et parfaitement réalisée de sa fille, elle finit par apprécier l'idée. Pas autant que Rose qui glousse déjà de bonheur à savoir qu'à l'évidence, c'est dans bientôt qu'elle  va devenir modele et ça, ça en jette. C'est donc illico presto qu'elle range son Docteur dans son TARDIS et que tous deux s'en vont direction la Rome antique, vu que c'est dans cet ici et maintenant que la statue a été taillée. Ils y croisent aussitôt un vieux bonhomme tout malheureux et décident de s'incruster dans sa vie d'une maniere que j'ai trouvé franchement gonflée, mais bon, on a pas beaucoup de pages non plus. Le monsieur est en fait malheureux parce que son cher fils a disparu, et qu'il le cherche maintenant désespérément, tout ce qui lui restant de lui étant une statue taillée tout justement au moment de sa disparition. ALors évidemment, Ten et Rose, ravis qu'on leur serve sur un plateau une occasion d'aller fourrer leurs nez partout, décident de lui filer un coup de main dans les recherches...

 

Faudra lire le bouquin pour savoir la suite, mais à priori rien qu'avec le résumé on peu déjà en dépioter un bon tiers.

 

Et je crois que je vais m'en tenir là et que cette review restera exceptionnellement courte vu que pour une fois, je trouve pas grand chose d'autre à rajouter... (faut dire que ça fait bien un bon mois que j'ai fini le livre donc c'est flou un peu. Imaginez la motivation d'enfer que j'ai à le reviewer s'il m'a fallu autant de temps pour m'y mettre ).

 

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 15:02

http://ecx.images-amazon.com/images/I/51ZE-8gM4%2BL._SL500_AA300_.jpg‘It was fiction, Rose.  Don’t you see?

There were no cops. There are no zombies, no Doctor. . . ’

****

 

 

      Il m'aura fallu réfléchir très fort pour savoir si j'ai aimé ou non la chose. Non pas que ça soit de sa faute, pas du tout; c'est de la mienne: j'ai lu la moitié du périple affalée sur une plage espagnole, en faisant semblant d'être concentrée alors que pas du tout; et j'ai fini l'autre moitié à la maison... 2 mois plus tard. J'avais donc bien pris soin d'oublier le peu de ce que j'avais suivi du début, et pour finir, je pense pouvoir affirmer que... j'ai pas tout compris XD.

Après réflexion, le verdict est que ça avait tout de même l'air vraiment très sympa, et un poil sombre (si si c'est vrai. Enfin, peut-être un peu plus qu'un poil en fait). Ca avait surtout l'air de vouloir nous ammener à une réflexion intéressante sur les dangers de la fiction, sur l'influence des média, tout ça tout ça, et sans que ça soit un questionnement particulièrement nouveau, il est ammené par des voies qui ont quand même leur originalité. Et en sachant que le livre est aussi fait pour être lu par des enfants, on peut supposer qu'il a dû amener dans certains cas à de chouettes discussions entre les enfants et leurs parents (pour peu que les parents se sentent un minimum concernés par les lectures de leurs p'tits bouts).

En plus au passage, notre (sur)consommation de la télé prend une petite claque en route, vu que toutes les occasions sont bonnes.

 

 

      Le Docteur, sa Rose et son Capitaine atterrissent sur une colonie lointaine déprimante à souhait, où tout le monde est habillé pareil et même que c'est pas drôle et même que Rose elle s'ennuie. Il est vrai que la demoiselle et ses deux copains sont un peu la seule chose intéressante du coin, et se retrouvent donc très vite au centre de toutes les attentions, y compris de celle des autorités locales. Il faut dire que dans ce monde, les rêves, les histoires et les mensonges sont interdits. Ceux qui s'y adonnent sont considérés comme des "fiction geeks" (hihi c'est rigolo ça) et envoyés au pas de charge dans l'asile de fous local. ("The big white house was big. It was white. And it was a house" 113-80ccb).

Imaginez donc les dégâts que peut faire un Captain Jack en pleine forme lâché dans un monde pareil dans le premier bar qu'il trouve....

 

Je l'ai bien aimé, le Capitaine. Un peu casse-cou, mais qui agit souvent avec une (bonne) idée derrière la tête; très efficace en temps de crise, une confiance sans limite dans le Docteur, une effection sans borne pour Rose... J'ai bien aimé Rose aussi, elle est très attachante quand elle pert les pédales et qu'elle se noie complètement. Pauvre petite chose. J'ai aimé le Docteur aussi, parce que c'est le Docteur et que le Docteur est toujours trogénial, mais dans l'absolu il ressemblait peut-être plus au Docteur dans le sens large qu'à Nine en particulier.

 

J'ai par contre beaucoup moins aimé les personnages secondaires, qui ne sont pas attachants pour deux sous, et on a donc bien du mal à s'intéresser à leur sort. On ferait avec s'ils étaient au moins utilies, mais à deux-trois détails près, ils ne font pas grand chose, donc on se dit un peu qu'ils ne servent à rien. Faut choisir: soit on est choupinet et on sert à rien, soit on est rasoir et efficace. Si tu peux faire les deux, c'est top. Aucun des deux: tu sors.

 

 

     Difficile de parler un peu plus de ce livre et des questions qu'il pose sans en dire trop sur l'histoire (qui en elle-même n'est pas forcément bien épaisse puisqu'elle sert principalement de prétexte, alors autant en dire le moins possible). Mais si The Stealers of Dreams se pose un petit peu plus sur la réflexion que sur l'action pendant ses deux premiers tiers (et il le fait très bien), on retrouve quand même un bon gros tas de n'importe quoi qui vole dans tous les sens à la fin (j'aime bien XD), le n'importe quoi étant accompagné de deux ou trois retournements de situation plutôt bien trouvés et que je n'avais pas vu venir pour la bonne raison que je ne les cherchais pas du tout par là (et j'ai dû laisser échaper un "coooool" quelque part en route pendant ma lecture XD).

 

 

      Niveau référence à la série, pas difficile, ça en est truffé. On doit en avoir une toutes les 3 pages, tellement que c'en est presque trop: c'est tout sauf naturel, on dirait que l'auteur essaye d'en recaser le plus possible histoire de montrer qu'il connait ses leçons, je sais pas. (Mention tout de même au Jagrafess (I call him Max) qui devient  "the Mighty Jagrafess of the Hadro-um-something Maxa-whatchamacallit", ce qui m'aura coûté un bon petit rire toute seule sur la plage )

 

Et on ne peut pas s'empêcher de sourire béatement devant ce groupe de mordus qui luttent pour maintenir leur fiction coûte que coûte, pour qu'elle ne soit pas oubliée, et qui se soient sauvés par une figure de Dieu de la télé qui aura le pouvoir de rescuciter leur fiction vénérée....  toute ressemblance avec des personnes existantes est probablement volontaire...

 

 

'It's the way things are. We’ve good reason to be afraid of the big bad wolf.’

 

 

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* Voilà. Je suis triste maintenant. J'ai vu tous les épisodes de Nine, lu tous les comics de Nine, tous les romans de Nine. A plus Nine . La bonne nouvelle c'est que je vais maintenant m'attaquer à Ten, et qu'avec lui, y en a pour des années

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 13:19

"So, we're not just thick, we're evil? Why d'you hang around us so much, then?"

Rose au Docteur.

*****

 

Oh My. En voilà un qui ne vole pas ses 5 étoiles. C'est effrayant, dans un sens: après avoir lu ça, on a peur de la suite; la barre vient de monter d'un cran.

C'est que Only Human a tout. Il a tout ce qui fait que j'aime la série. C'est un excellent épisode. Parce que c'est vraiment l'impression qu'on a, en fermant le bouquin: on vient de voir un super épisode. Les personnages sont tellements.. eux qu'on entend encore résonner dans nos têtes les répliques qu'on a lues, qu'on voit leur mimiques, leurs grimaces... on les voit plongés dans toutes ces situations aussi extravagantes que variées dans lesquelles l'auteur est allé les coller,  louffoques mais solidement construites, des comme on les aime. On a aussi tout l'humour de la série, et on éclate de rire comme on le ferait devant notre télé.

Mais c'est également une histoire qui pose bien plus de questions qu'elle n'y parait de loin, une histoire qui s'étale sur plusieurs niveaux de lectures. Un de ces épisodes qui sera regardé différement par un adulte et par un enfant. (Et, ouais, à ce niveau là aussi. Le Docteur, il aime bien Rose qu'il dit. Genre. Jack se fait des nouveaux amis. De très bons amis apparement. )

 

Et, histoire de le caser quelque part, je crois bien que ce livre a l'une des introductions les plus surprenantes que j'aie jamais lu, qui me laisse à penser que ce cher Gareth (on est copains maintenant, je l'appelle Gareth) a définitivement un malaise avec les chats, et que donc je l'inviterai jamais à boire un verre chez moi. (c'est que j'en ai 5 à la maison, des chats, et je les aime bien quand même: j'ai moyennement envie qu'il leur fasse subir ce que subit celui de son intro XD)

 

The TARDIS crew atterit donc à Bromley, Angleterre, à peu près de nos jours, pour croiser au détour d'un couloir d'hôpital un homme de néanderthal (un vrai, avec les poils et tout et tout). Même que c'est un peu bizarre ça quand même, que se dit notre brave Nine, vu que ces poilus là, ils ont disparu y a quelques 28.000 ans et des brouettes. Et vu que ça serait trop facile si on pouvait le jeter au fond du TARDIS et le ramener chez lui, et ben, on peut po. Donc on laisse à Jack le soin de baby sitter l'homme des cavernes catapulté dans notre bon vieux 21e siècle et Rose et le Docteur partent en amoureux à l'époque de y a longtemps, à la recherche d'homo tout juste sapiens tout en dents et en peaux de bêtes, et tombent justement sur... 2 types en jeans qui mangent des sandwichs!!! N'importe quoi moi je vous dis, et la bonne nouvelle, c'est que ça n'est que le début....Tout se mélange alors, les humains du passé, du présent, du futur, dans un bric à brac à en... perdre la tête.(au sens littéral. Et ça vaut son pesant de cacahuètes)

 

L'auteur fait le choix intéressant de mettre en paralèlle la découverte du monde moderne par Das, notre néanderthal coincé au XXIe siècle, et celle de Rose qui, tout en étant coincé dans le passé de sa propre espèce, en découvre également le futur. Ca permet une analyse intéressante de 'notre évolution', sans pour autant nous donner l'impression de nous asséner les leçons de morales pénibles qui auraient facilement pu envahir ce roman. De fait, on est un peu des boulets, quelle que soit l'époque, et on a beaucoup moins changé qu'il n'y parait. Et aussi... brrrr que nous paraissent les humains du futur, ils ne sont pas si différents non plus. Ce sont nos nous d'aujourd'hui, en grossissant très fort les traits. Mais on a aussi des qualités, des fois, quand on creuse un peu. Si si c'est vrai, monsieur le Docteur, y a pas que Rose qui est super géniale trop forte (bon, elle est plus trop forte que moi c'est sûr, moi dès l'instant où je me serais faite attaquer par un bras en plastique j'aurai été bonne à enfermer).
Enfin, au bout du compte, on n'est simplement tous que des humains.

 

L'histoire qu'on nous propose est riche sans être dans l'excès: on ne s'ennuye pas, on est souvent surpris, mais on ne se pert pas non plus en route. On a aussi pas mal de diversité, dû au jonglage qui se fait naturellement entre passé, présent, futur. On passe du cocasse à l'angoissant en un tour de main, mais sans s'en apercevoir: les transitions sont très bien gérées. On pourrait tout de même reprocher la fin un peu bâclée, un peu... moins savoureuse on va dire. Semblerait que ça soit un défaut récurent de l'auteur. Mais on prend tellement de plaisir en lisant ce livre que... tant pi, on fait avec.

 

Et l'humour, donc! Ce livre est aussi vraiment drôle. Mais pas drôle pour être drôle, l'humour tombe naturellement. De l'humour de situation, des répliques tordantes... Ca, c'est sûr, il sait le faire!
La diversion spectaculaire de Jack au début de l'histoire (qui doit définitivement faire regretter à certain(e)s que l'histoire ne soit pas télévisée) donne le ton, et ça n'arrêtera pas. Lorsque l'hypotétique futur mari des cavernes de Rose (longue histoire) lui annonce le plus naturellement du monde qu'elle n'a pas à s'en faire, il n'y aura pas de secrets entre eux, quand il ira voir d'autres femmes, il le fera devant elle... je peux juste imaginer la tronche que tire la blondinette à ce moment XD. Le caméo de Jackie est tordant, et le journal de Das est toujours un régal à lire, surtout quand il décortique la télé... le coup de Farscape, j'adore lol. (oui je sais, le coup de Farscape, si on l'a pas lu, ça veut rien dire, mais ceux qui ont lu comprennent, ceux qui ont pas lu sont pas spoilés, les papillons volent etc.)

 

Das, justement, est un personnage secondaire absolument fabuleux. On le voit peu finalement, mais sa spontanéité et son naturel à toute épreuve apportent beaucoup de fraicheur et le rendent très attachant. Et le contraste avec Jack qui est à peu près son parfait opposé, est excellent. Ca aurait été nettement moins intéressant si c'était Rose qui était restée avec lui finalement. Et Das a raison: parfois, on se demande lequel des deux comprend vraiment les choses...

Quilley n'est pas aussi marquant, mais son côté caricatural à l'extrême pour les besoins de l'histoire XD permet de rendre drôles certains gags qui seraient juste très lourds dans un autre contexte.

 

Non, vraiment, si de Nine vous ne devez en lire qu'un seul, lisez celui-ci, il en vaut la peine. Non mais si, vraiment, j'insiste. Allez allez, allez me chercher ce livre!! Qu'est-ce que vous faites encore là?

 

Et moi pendant ce temps de décider finalement, après qu'il m'ait poursuivi toute la quinzaine, d'acclamer Sieur Roberts (qui est peut-être un crétin fini en itv mais je m'en fiche. Je suis très rarement d'accord avec Moffat sur ses itv, et ce depuis bien avant la saison 5, mais ça m'empêche pas d'aimer ce qu'il fait. Alors...)

 

 

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 11:15

"Hello - anyone in that skull of yours? This is volcano day all over again."

Le Docteur à Jack

****

 

    Alors, là, je suis bien embêtée de ne trouver que cette couverture, ça ruine ma première remarque sur ce livre. Ben oui, voilà pas que j'ai pas la même (je savais même pas qu'il y en avait une autre jusqu'à y a 2 minutes); la mienne est à peu près la même.. sauf que j'ai pas Rose. Et donc moi d'être restée plantée 5 minutes devant le bouquin avant de l'ouvrir la première fois, à chercher ce qui clochait, avant de comprendre que c'était juste le premier qui me passait dans les pattes avec un Docteur tout seul dessus. Non pas que ça soit fort passionnant, mais ça aurait pris une toute petite ligne et on serait passés à autre chose. Mais à cause de BBC Books, c'est devenu tout un paragraphe. C'est leur faute hein, je suis innocente dans cette histoire. J'ai été piégée par BBC books.

 

    Et donc effectivement, le Docteur n'est pas seul, puisqu'en plus de sa Rose, il a aussi récupéré en route un ex agent du temps-futur cheffeuh de Torchwood avec un talent particulier pour la boulette (ben oui, à l'époque tout ce qu'on savait de Jack c'est qu'il avait failli transormer la race humaine en zombies masqués suite à une boulette. Cette fois il manque de peu de zigouiller la moitié de la planète - mais ça partait d'une bonne intention).

 

    Voilà donc que, suite à la boulette de monsieur, nos copains se retrouvent... quelque part sur une péninsule Russe (je suis très calée sur la géographie de l'endroit). En gros: ya de la neige, il fait froid, et les gens ont des noms compliqués à retenir.

En même temps qu'eux arrive une équipe de l'armée Russe (pour nous donner une impression de UNIT sans ammener UNIT) qui venait enquêter sur des pics de radiations louches et qui ont rencontré un cadavre sans le vouloir, cadavre qu'ils s'empressent de refiler au Docteur et 'son équipe', qui se sont auto proclamés chargés de l'affaire. Ils apprennent que le cadavre a été livré avec une demoiselle qui techniquement respire encore mais dont la vie semble avoir été complètement aspirée et dont il ne reste que la coquille vide et la peau fripée..
Et ça ne surprend pas plus que ça les habitants de la péninsule (qui ont été abandonnés là il y a des années et qui survivent comme ils peuvent depuis, je trouve le concept assez affreux mais passons), qui ont décidé que tout ça, c'est tout la faute au Vlamachinchose, la vampire des légendes locales, qui boit la vie au lieu du sang, afin de rester jeune et belle et tout le tintoin.

 

 

   Le premier Justin Richards de la série, The Clockwise Man, nous parlait de Tsars et de Bolshevicks et de révolution, celui-ci nous emmène carrément en Russie. Semblerait que l'auteur apprécie ce coin là. The Clockwise man nous proposait des personnages secondaires attachants, avec une grosse tendance à ne pas être ce qu'ils semblaient être au premier abord, et les plus grands retournements de l'histoire étaient justement bâtis autour de cette idée. C'était un très bon point pour le livre, et il réutilise à peu près la même recette pour the Deviant Strain... et ça marche de nouveau. Les personnages sont peut-être un peu moins attachants (en même temps, le Freddie de TCM est imbattable, j'en aurai presque pleuré pour lui dis donc) mais là encore ils ont tous leurs secrets cachés, qui nous sont dévoilés au fil de l'histoire avec un effet de surprise plus ou moins réussi, mais dans l'ensemble, l'auteur maitrise vraiment bien ses seconds rôles - je donne un point supplémentaire à Alex Minin, personnage très bien construit. J'imagine qu'il a voulu faire de Valeria l'encrage émotionnel fort de l'histoire pour le lecteur, ça marchera ou pas, selon les personnes. (J'ai été bien plus touchée par Freddie. Comment ça je l'ai déjà dit?)

Les personnages principaux sont fidèles à eux-mêmes, mais dans la mesure où ils sont bien plus dans l'action que dans l'introspection, on n'ira pas fouiller bien loin dans leur psychologie (bien plus poussée dans Winner Takes All par exemple). Le Jack des débuts est quand même vraiment... adolescent sur les bords. Mais il ne manque pas de bravoure. Ca compense ses anneries XD. Mais sans le charisme de John Barrowman, cette version de Jack pert un peu d'intérêt.

Revenons sur l'action, parce que  justement, on n'en manque pas! On se balade entre l'action-movie (enfin.. action-book xd) et le thriller, et sans être spécialement originale, l'histoire est vraiment prenante, on a du mal à reposer le livre, on VEUT savoir. Et si The Clockwise man souffrait d'une première partie assez pénible bien rattrapée par une deuxième partie passionnante, celui-ci nous fait un peu l'inverse, j'ai été bien plus accrochée par la première partie (qui voit nos héros évoluer chacun de leur côté) que par la 2e, même si elle reste tout de même bien meilleure que l'ouverture de TCM. (For me, of course).

 

On se dit parfois en cours de lecture (surtout pendant la dite première partie) que ce qu'on lit est très intéressant, mais ça marcherait aussi bien si on changeait les noms des personnages principaux et qu'on enlevait le logo Doctor Who sur la couverture. On n'a rien de vraiment, typiquement Doctor Who. Quelques petites choses à droite à gauche mais... On se rattrappe sur la fin, mais quand même. Pour le coup, c'est pas forcément ni un avantage, ni un inconvénient, mais c'est à noter. Je me suis fait la remarque en cours de lecture, mais ça ne m'a pas du tout empechée d'aimer ce livre.

 

Par contre, ne faites pas comme moi: quand ils décrivent les endroits, lisez attentivement. Parce qu'alors sur la fin, quand tout le monde court dans tous les sens en empruntant tel souterrain ou tel racourci, en passant par la maison de machin parce que ça menait directement à chez bidule.. j'étais COMPLETEMENT paumée dans le village ( comme quoi, j'ai définitivement un souci avec la géographie de l'endroit, même à petite échelle *honte*)

 

Ah et oui, le Bad Wolf est bien là, encore et toujours. Cette fois il a au moins l'avantage d'avoir un rôle à jouer dans l'histoire, au lieu de se contenter d'une petite apparition juste-pour-dire-qu'on-l'a-dit. Cella dit, j'aurai vraiment aimé lire ces livres pendant que je regardais la saison 1, parce qu'une fois qu'on sait c'est quoi, la chasse au louloup c'est quand même moins rigolo.

 

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Edit: ajout de ma couverture rien qu'à moi à la demande de mon capitaine (posé en exposition devant les autres, parce que ça fait staïle XD)

Photo0043.jpg

 

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 11:02
http://www.coverbrowser.com/image/doctor-who-books/53-3.jpg“If she gets hurt, though, this planet’s dust. Just thought I’d mention it.”
The 9th Doctor
***


     Conditions de lecture assez particulières pour celui-là, puisque j'ai étalé tout ça sur.. un mois et demi! Cétait mon livre "léger, dans le sac pour quand on est pas à la maison", alors que la table de chevet était occupée par l'encyclopédie Davies/Cook (définitivement trop grop pour rentrer dans le sac). Ca ressemblait donc à "2 pages- tiens, mon rendez-vous arrive! 3 pages - ça y est, la poste ouvre!" Oui je lis plusieurs livres en même temps. Et encore, je vous ai pas dit que je me suis fait 1 Pratchett, un King et un quart de Nothomb quelque part en route. Dans le genre éclectique...

      Tout ça pour dire que forcément, ça demande un effort de mémoire assez intéressant pour essayer d'avoir une vue d'ensemble de la chose (sachant que j'ai déjà du mal à me rappeler de ce que j'ai mangé avant-hier, voyez).
      Le hasard faisant bien les choses (ou mal, dépend du point de vue) des 3 premiers, c'est justement le plus fluide et le plus "d'un seul jet" que j'ai lu par épisodes. The Monsters Inside et The Clockwise Man se coupant facilement en 2, voire en 3. Mais pas celui-là. Il monte en intensité au fur et à mesure, mais c'est ammené doucement. Pas de changement brutal d'atsmosphère qui nous tombe sur le coin du nez. (Ou alors jme rappelle plus. Ca se peut aussi). C'est à son avantage, parce que lorsqu'il y a coupure, on a tendance à décrocher légèrement et à flotter pendant quelques pages. Ici c'est pas le cas. On aurait plutôt tendance à avoir du mal à le poser, parce que justement pas-de-coupures...
      D'un autre côté ma lecture distendue m'aura permis de ne pas être perturbée plus que ça par certaines anomalies temporelles, du genre Daren Pye qui a le temps de faire à peu près l'équivalent d'une vie en l'espace de 24 heures à tout pêter, ou du concept génial d'un monde où tout le monde peut courir partout pendant 4 jours sans jamais avoir besoin de dormir, manger.. (prendre une douche ). De fait, ce dernier problème est récurrent, mais puisqu'on ne peut pas consacrer la moitié de chaque épisode/bouquin à s'occuper des besoins de nos sims, on sait qu'on est sensé faire comme si. Ce qui marcherait plutôt bien si Rose n'avait pas la brillante idée de nous sortir  "oh j'ai pas dormi depuis 3 mois et demi! Tant pis, j'ai trop de trucs à faire je dormirai l'année prochaine!"

      J'ai commencé ce livre en me disant  que je connaissais déjà le plus gros de l'histoire, puisque je savais qu'il avait été plus où moins adapté dans SJA (Warriors of Kudlak), et ça avait l'air assez vrai pendant, disons, le premier quart du bouquin, où je pestais de "déjà savoir" (savoir quoi, chai pas, m'enfin), et puis finalement, ça a fini par partir en sucette, quelque part à des années lumières de SJA. On a l'idée du super jeu vidéo de guerre qui fait fureur, et qui s'avère être en lien direct avec une embrouille d'alien quelque part sur une autre planète (assez évident le lien, mais j'le dis pas quand même, C'est Pas l'Heure). Et.. voilà. C'est à peu près tout, au niveau des points communs. On aurait tendance à se dire qu'en sachant ça, on peut déjà s'imaginer à peu près toute l'histoire, mais là, ça atteind un degré de n'importe quoi tel qu'il faut quand même être un peu zinzin pour l'avoir imaginé devant le résumé. (sans compter les têtes décapitées qui volent et les entrailles qui trainent, forcément, c'est pas le genre de trucs qu'on a dans la série.. ). Et de toute façon, peu importe: le point fort de ce livre, ça n'est pas tellement son histoire, ce sont ses personnages principaux.

      L'histoire se passe en partie à la résidence Powell, on visite le quartier, les voisins (sympa, ça fait rêver )  et on retrouve Mickey et Jackie. Si Mickey est moyennement intéressant (bien qu'utile), Jackie est plutôt  touchante (bien que ne servant à rien). On fini même pas avoir envie d'aller lui faire un calin dis donc! A Jackie! Quoi qu'il en soit, l'un comme l'autre sont parfaitement fidèles à ce qu'ils sont dans la série, mais en encore un peu plus poussé (surtout dans le cas de Mickey)

      Quant à Rose et le Docteur (parce qu'il y sont quand même, j'vous jure!), difficile de ne pas les regarder légèrement différement après avoir lu tout ça, et dans le même temps ce nouvel éclairage s'intègre parfaitement à la série. C'est quand même une sacrée épreuve qu'ils nous traversent là. Ca nous vaut d'intéressantes remises en question de la part de Rose qui au vu des circonstances n'a pas grand chose d'autre à faire que se remettre en question, la pauvre. Quant à Nine, il atteind des sommets de "je boude" et "je râle", mais on le connait, et c'est quand il est grincheux qu'il en dévoile le plus.. En tous les cas, si les 2 premiers romans étaient assez fidèles aux personnages dans la forme, celui-ci l'est aussi dans le fond, et c'est là que ça devient vraiment intéressant. La relation entre les deux subit le même traitement: nettement plus approfondie que dans les romans précédents, mais là aussi très fidèle à la série. On ressort de tout ça en ayant vraiment l'impression de mieux les connaitre, de mieux les comprendre. (Je pourrais bien ajouter "De mieux les aimer", mais ça ferait très cucul n'est-ce pas?)
      En contrepartie, ce sont tous les personnages secondaires qui trinquent (incluant entre autres les aliens méchants-pas-beaux): pas vraiment développés, à la limite du caricatural pour certains, les deux pieds dans la caricature pour d'autres... Sorti de Robert qui a droit à un vague background, et encore, ça suffit à peine à nous le rendre intéressant (ça le rend plutôt pénible, en fait). Si on s'attache pas mal à Freddie et aux 2 givrés dans the Clockwise man, où à Flowers dans the Monsters Inside, ici on oublie nos nouveaux copains aussitôt la dernière page tournée.

     Le Bad Wolf traditionnel est là, bien entendu, et il m'a bien plus celui-là

 

A part ça,  les mots"GAME OVER" n'auront plus jamais tout à fait la même signification...

 

 

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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 08:34

Aujourd'hui j'ai lu mon premier quick reads, qui, comme son nom l'indique, se reads effectivement très quickly. Ce qui dans mon cas était parfait pour occuper un trajet de 2h. Non mais en fait, c'est bien les Quick reads. Evidemment, avec 100 pages écrites en police 40 et des marges de la taille d'une autoroute, ça laisse pas beaucoup de place pour développer une bonne histoire bien tarabiscotée, mais du coup, on suit le mouvement, on réfléchit pas trop, ça se lit tranquillou, et on arrive même à le lire tout en suivant une conversation en même temps (c'était peut-être pas le but de la manoeuvre ceci dit) .

déAlors bien sûr, le Docteur nous résoud notre problème du jour en 2 coups de tournevis et 3 grandes phrases doctoresques, vu qu'il a pas vraiment le temps de s'apesantir. Mais bon. C'est comme ça qu'on nous l'a vendu en même temps. Evidemment, j'ai commencé par celui qui parle de Judoon, parce que hiiii!!! les Judoon, quoi. Mais en fait, c'est un peu de la pub mensongère ça, parce que les Judoon, dans le bouquin, on les vois pas des masses. Et pour ce qu'ils servent, on pourrait aussi bien ne pas les voir du tout :(. Et evidemment, on traine Martha, qui est tout de même moins agaçante à l'écrit qu'à l'écran, c'est à savoir. Ce livre nous amène donc en Ecosse, en l'an 1900 et des bananes (Bananas are good), sous le règne de sa majesté Edward VII; que nos 2 compagnons sont bien décidés à rencontrer. Mais malheureusement pour eux, lorsqu'ils arrivent... ils ne trouvent qu'un cratère en place du chateau! soupçonnant un coup des Judoon, le Docteur et Martha se lancent dans l'enquète avec l'aide de leur nouvel ami, le Capitaine Harry Carruthers. En route, ils croiseront Sir Arthur Conan Doyle, et découvriront qu'une lourde menace pèse sur la Terre. Mais cette fois, arriveront-il a temps pour nous sauver?

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Résumé détaillé (Spoilers!)


Et voilà, on a fini les 100 pages, fiou!!! Non mais, vraiment, c'est pas aussi pire que je pensais. Oui, c'est fait pour être lu vite et oui, c'est fait pour être accessible aux gamins. Mais c'est pas non plus un Oui-oui quoi. Ca reste du Docteur-et-Martha. C'est sympa. Ca passe le temps. Bon le principal souci dans notre cas, c'est qu'on nous promet du Judoon qui sont en fait là juste pour la déco. On nous promet du Arthur Conan Doyle que l'ont voit juste assez longtemps pour qu'il nous dise que euh, il fait pas qu'écrire du Sherlock Holmes hein, c'est un Historien aussi, Dedieu!! Et en fait, y a que Martha qui lui cause. Le docteur le croise même pas. A lire la quatrième de couv', on en rêvait déjà de la rencontre Ten/Thutur. Tant pis, ça sera pour une autre fois! 

 

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Encore un quick read (c'est pas cher  ) , et j'ai eu l'impression qu'il était écrit encore plus gros que le dernier lu  (mais non, ça n'était qu'une impression). Par contre il était bien meilleur. Même que je l'ai beaucoup aimé, pour un quick read.

D'abord parce qu'il répond à une question qu'on s'est tous plus ou moins posé, ne serait-ce qu'en regardant la cyberwoman de Torchwood: quand le Doctor a renvoyé tous nos copains métalliques interdimentionnels  dans le void, il ils sont devenus quoi ceux qui avaient été créés en route sur notre bonne vieille Terre, sans avoir été contaminé par les particules de rien-du-tout?
Ca nous fait donc un roman à peu près complètement intégrable à la série, par principe j'aime. Ca nous fait aussi plein de petites allusions à Rose coincée sur sa plage, ce qui doit faire plaisir au fans de Rose (et de sa plage). Et puis on parle d'Adeloa aussi, qu'on avait complètement oublié. "Ma cousine, vous l'avez peut-être vue, elle me ressemble UN PEU" (bof, vite fait alors )

Le Doctor est assez doctoresque, même si on ne voit quasiment que le Doctor loufdingue (que je l'aime, moi, ce Doctor là, mais oui bon, il n'est pas QUE ça non plus. Mais bon. Voilà quoi. D'abord).
Martha par contre elle est euh.. elle est pas méchante hein mais elle n'est pas très.. Martha quoi. Enfin pas tout à fait. Ca n'est pas exactement NOTRE Martha (ce qui est peut-être une bonne nouvelle, qu'on se dit, hein ouais). Mais comme on ne s'intéresse pas plus que ça à la-vie-de-Martha, dans le fond, ça nous dérange pas trop. (Et pour la défense de l'auteur, le livre a été écrit AVANT la diffusion de la saison 3. Donc il ne connaissait  Martha que par quelques descriptions faites par les scénaristes. Ca aide pas.)

Et puis ce livre est bien parce qu'on a la trouille (non, pas du genre à aller planquer le bouquin dans le congélateur non plus). Mais l'histoire se déroule quelques temps après les évènements de Canary Warf, et le monde entier (comprendre la Grande Bretagne) est encore sous le choc de l'invasion des Cybermen. Les gens sont traumatisés et ils ont peur. Et c'est là qu'on a peur aussi, par identification: si on avait vu ce qu'ils ont vu, vécu tout ça pour de vrai, on serait un chouille perturbés quand même. Et on imagine bien l'état de panique absolu dans lequel on basculerai si on apprenait qu'ils sont sur le point de revenir, nos méchants en fer. Et l'auteur de nous glisser à l'occasion un petit paralèlle entre l'invasion Cybermen/Nazi, et ce traumatisme qui, derrière, ne disparaitra jamais. 

Pour finir, on a aussi un nombre de "rebondissements" assez étonnant, au vu de la taille du livre. On peut en ranger, des choses, dans un si petit machin finalement. De grosses choses d'ailleurs: on a même des T-Rex!! Des vrais, avec des dents pointues et tout et tout!  Si si, les cybermen se marient très bien aux T-Rex, je vous jure  (oh boy qu'ils sont laids ces smileys)

Au final: il est étonnant, ce petit livre là...


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3 janvier 2010 7 03 /01 /janvier /2010 10:42


Le tout premier que j'ai lu, qui est d'ailleurs le premier tout court d'après la numérotation (pour ceux qui lisent le Gallifreyen, c'est pas mon cas ). Vi, je suis quelqu'un d'organisé (hum) je les ai lu à peu près dans l'ordre.

Et Je l'aime moi ce pitit livre là. Pourtant ça partait pas forcément bien, la première partie est très branchée politicomachin Russie post révolution papati patata,  et j'avoue, ça m'a gonflé un peu (ça doit être sympa pour quelqu'un qui s'intéresse à tout ça ceci dit). Mais par la suite ça décole, ça twiste dans tous les sens, et on se régale. On est ému, même. Si si.

Ca commence bien pour Rose et son Docteur puisqu'ils déboulent juste à temps pour sauver un humble passant des griffes d'un bidule métalique non idéntifié. Et en plus de ça, dans la foulée, ils paument le TARDIS, ce qui de notre côté aurait tendance à nous inquiéter un peu mais le Docteur s'y intéresse pas plus que ça.. faut dire que 4 pages plus loin il paume aussi sa veste, et ça, ça craint. Et il est bien trop occupé à s'inquiéter pour la veste pour se soucier du TARDIS... (non mais c'est vrai quoi, une veste pareille moi aussi ça m'embêterai de la perdre). S'ensuivent tout un tas de péripéties plus ou moins liées à la disparition de la dite veste, durant lesquelles Rose arrivera à se mettre dans le pétrin au rythme soutenu d'une fois toutes les 10 pages à peu près (et elle commence fort d'ailleurs, sa première boulette, c'est de se perdre dans la maison en sortant de la salle de bain, j'adore).

Rose justement, c'est quelque chose. Il faut ressituer, l'histoire du livre se déroule au tout début de la première saison (quelque part pendant les 3 premiers épisodes par là), donc c'est la Rose et le Docteur du tout début qu'on a. Et faut se rappeler que Rose à l'époque, elle avait des éclairs de génie de temps en temps, mais sorti de ça, c'était quand même un petit peu un boulet à ses heures. Et armée d'un don naturel pour mettre les pieds dans le plat. Ben c'est cette Rose là à laquelle on a droit. C'est vraiment pile poil la Rose du début. Et ça ça m'a pas mal plu je doit dire .
Et dans la même logique, la relation Nine/Rose est aussi celle du début évidemment. Le Docteur, il l'aime bien Rose, elle est sympa, elle est utile de temps en temps, mais alors, qu'est-ce qu'elle débite comme âneries, qu'il se dit des fois notre Nine. Et si il perdait pas autant de temps à la sortir de la mouise dans laquelle elle va se fourrer avec application tous les 3 mètres, il aurait un peu plus de temps à consacrer à sa Jacket. Moi je dis.

On a aussi quelques petites références à la série de temps en temps, à commencer par les méchants pas beaux qui doivent être cousins avec ceux de la Pompadour. (Avouez, juste en lisant le titre du bouquin, vous y avez pensé aussi aux Clockworks men de la Reinette). Et le Doctor qui nous refait sa blagounette de "quoi, j'ai changé de pull!" quand Rose lui fait remarquer qu'il est pas très contemporain. et d'autres, sûrement, mais euh.. me rappelle plus

 

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Je l'avoue, je partais avec l'idée que celui-là, ça serait pas mon préféré. Voire  que ça serait un défi d'aller jusqu'au bout. C'est à dire que, les Slitheen quoi. Encore. Et encore.
Et puis finalement... cro chouette les Slitheen!! ( Y a un s ou pas à Slitheen au pluriel?)

Autant pour the Clockwise Man, le démarrage était un peu longuet, autant pour celui-là, à la 3e page on est déjà en plein dedans: nos 2 moucherons de l'espace s'en vont pour le tout premier voyage de dame Rose sur une autre planète... sur laquelle ils se font enlever, après avoir sorti à peine un orteil du TARDIS. Sont séparés, parce que c'est plus rigolo, Rose se retrouvant dans un genre de camp de redressement intergalactique pour ados, le Doctor dans une prison pour génies aliens.. partageant sa cellule avec.. 2 Slitheen!!! tatata!!

On passe donc une bonne partie du bouquin à jongler de l'un à l'autre, à admirer leurs styles respectifs pour essayer a) de s'enfuir b) de retrouver son copain de Tardis. Alors que l'un pose ses pions et entamme sa partie d'échec, l'autre y va comme un bourrin, fonce dans le tas, s'attire tous les ennuis dont on puisse rêver et accumule les bourdes (je vous laisse deviner à qui correspond quoi). En cours de route, le Doctor arrivera à faire croire à une brochette d'aliens que Rose est - preuve à l'appui - une physicienne de génie, ce qui est quand même un exploit qui mérite d'être applaudi..

Ce n'est pas un trop gros spoiler que de réveler que oui, ils finissent pas se retrouver avant la fin de l'histoire... et c'est à se moment là que les Slitheen se mettent à sortir d'un peu partout, que tout le monde se met à sauter d'une planète à l'autre, et que moi, je me suis faite un peu larguer... trop de slitheen avec trop de noms bizarres et je savais plus qui était où avec qui pourquoi, et lui je croyais qu'il était mort qu'est-ce qu'il fait là, ah non en fait c'est l'autre qui est mort, ah si enfin de compte c'était bien lui qui était mort mais il a rescuscité, euh... ouille... (lire dans la voiture, ça a pas dû aider non plus).

Mais globalement, plutôt contente de celui-là, vu que je pensais pas l'aimer du tout à la base. C'est la première partie que j'ai préféré, les prouesses de nos 2 copains pour se retrouver valent le détour parfois....

Comme souvent, des références à la série à droite à gauche, que j'ai évidemment oublié 2 semaines plus tard... je me souviens que le nouveau copain de Rose lui parle du Big Bad Wolf à un moment....  oh et toute l'histoire se passe dans le système planétaire de Justicia, dont Rose nous parle vite fait dans l'épisode Boom Town . Ah et j'oubliais: y a des Blathereen aussi! Les chewing gums oranges qui ont embêté Sarah Jane...

 

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